Le iaïdo, art martial, souvent comparé par les néophytes au tai-chi, est relativement lent, sans contact ni chute et basé sur le travail du souffle et des appuis. Le sabre, en bois ou factice; n’est qu’un outil pour le développement de l’esprit et du corps.
C’est pourquoi il est adapté à un très grand nombre : femmes, personnes âgées, handicapés (dans une certaine mesure) et toute personne souffrant de traumatismes physiques. Nous avons actuellement, au sein du dojo, un retraité, trois étudiants, une personne avec une déficience visuelle, et 5 femmes sur un total de 18 licenciés. Il est également adapté aux jeunes, mais force est de constater que ces derniers ne sont pas légions dans nos dojos.
Cette discipline développe la maîtrise de soi, la vigilance et la connaissance de son schéma corporel. Les bienfaits sur la santé apparaissent avec le travail sur la respiration, la correction de la posture et le développement de la souplesse. Une grande concentration est nécessaire afin de progresser et ainsi tendre vers l’objectif final qui est l’union parfaite entre le corps et l’esprit.
Tous les entraînements sont encadrés par au moins un de nos deux professeurs détenteurs d’un diplôme fédéral.
Bien qu’existante, la compétition ne fait pas parti de la pratique quotidienne. Nous la proposons uniquement pour les personnes intéressées, pendant une période limitée de l’année et sur un créneaux horaires distincts des horaires habituels.